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Bienvenue sur mon blog Blog Vous-êtes-vous demandez si les O.V.N.I sont réels? Les prochaines éclipses visibles depuis Paris. Andromède, la galaxie soeur. Inscription Pourquoi y a-t-il des CRATERES sur la Lune? Publié 29 avril 2007 dans La Lune 23 Commentaires La lune a été bombardée par de grosses météorites dans sa prime enfance, il y a environs 4 milliards d’années. A cahque impact, un cratère en a marqué la surface d’une cicatrice indélébile. Il s’est ainsi formé plusieurs centaines de milliers de cratères d’un diamètre compris entre 1 Km et plus de 200 Km. Depuis cette époque, les chutes de météorites sur notre satellite sont devenues plus rares. Mais elles n’ont pas cessé pour autant. La lune a un visage. Cela, tout le monde le sait bien. les traits de ce visage sont marqués de milliers de cratères, de forme circulaire, qui en criblent la surface comme autant de cicatrices. Plus de 300 000 cratères. Pour ne parler que de ceux dont le diamètre dépasse 1 Km, on pense qu’il y en aurait environs 300 000, rien que sur la face visible de la Lune. les plus grands ont un diamètre supérieur à 200 Km, comme le bassin Schrödinger, qui mesure 320 Km…Le visage lunaire témoigne des temps reculés où notre satellite naturel était litteralement bombardé par des météorïtes. A l’époque, il y a entre 4.2 et 3.8 milliards d’années, le Système Soleire venait tout juste de se former et quantité de petits corps » inutilisés » lors de cette formation circulaient entre les planètes, les heurtant sans ménagement. En particulier, La Lune, récement apparue à la suite d’une collision, recevait des milliards de tonne de matières sous forme de ces météorites. Quand l’une d’elle s’abîmait sur sa jeune surface, le choc était si brutal qu’elle creusait un profond cratère. La matière apportée par la météorite était alors totalement absorbée par la Lune qui, de la sorte, augmentait sa masse. Aussi, comme unique témoignage de cette époque ancienne de grand bombardement, il ne reste aujourd’hui que les dratères, dont la plus part ont plus de 3.8 milliards d’années. Comment des traces aussi vieilles ont-elles pu subsister jusqu’a nos jours? Déjà, il n’y a pas d’ érosion sur la Lune : il n’y a ni vent pour user les roches. De plus,la Lune est depuis longtemps un astre mort, inerte, contrairement à notre planète Terre, dont la surface, de tremblements de terre en éruptions volcaniques, est renouvelée en permanence. La Terre efface ainssi petit à petite lmes trace de son passé, que le visage de la Lune se charge de nous rappeler. Au fil de l’histoire: L’époque de l’intense bombardement qui secoua tout le Système Solaire est révolue depuis longtemps. mais la Lune continue, de temps en temps, à recevoir des projectiles. Ainsi, en 1953, un astronome amateur américain, Léon stuart, vit apparaître sur la face lunaire un point très lumineux, qu’il photographia… Ce n’est qu’en 2003 qu’on perça le mystère: les scientifiques découvrirent qu’à l’emplacement même où le point lumineux était apparu, s’étendait un cratères de 1.5 Km de diamètre. Stuart avait vu une météorite s’écraser sur la Lune. Erosion: usure naturelle de la surface d’une planète ou d’un satellite, par l’action du vent ou de l’eau. Combien y a-t-il de GALAXIES? Publié 12 avril 2007 dans Les galaxies 39 Commentaires L’ Univers compte quelque 100 milliards de galaxies répartient dans tout son volume. S’il est peu probable que les astronomes puissent un jour compter une à une les galaxies, ce colossal chiffre de 100 millioars , obtenu à la fois grâce aux calculs théroriques et aux progrès techniques réalisées en matière de télescopes, semble proche de la vérité. Il fait de notre propre galaxie, la Voie lactée, une goutte d’eau dans le vaste océan cosmique. Si les astronomes ont pu évaluer à environ 100 milliards le nombre des galaxies qui peuplent l’Univers, c’est qu’ils disposent aujourd’hui d’instruments d’observation ultra-performants. Le télescope spacialHubble, en particulier, leur a fourni depuis 1993 des images des contrées les plus reculées du vaste Univers. pour évaluer le nombre total de galaxies, Hubble a été braqué dans une direction fixe pendant 150 heuresn ce qui lui a permis de capter la lumière provenant de galaxies distantes de plus de 10 millioards d’années-lumièren soit quelque 100 000 milliards de milliards de kilomètres! Jusqu’aux confins de l’Univers. Selon les théories modernes, qui postulent que le cosmos a un volume fini et limité, ces galaxies lointaines seraient situées aux confins même de l’Univers. Les astronomes ont alors compté le nombre de galaxies contenues dans la petite portion de ciel photographiée par Hubble: ils en ont trouvé quelque 2 500, des plus proches aux plus lointaines. Comment , à partir de ce résultat, ont-ils pu évaluer le nombre total de galaxies dans l’Univers? Très simplement: veut-on savoir approximativement combien de livres sont rangés dans une grande bibliothèque? On compte les ouvrages présents sur un rayonnage, puis le nombre de rayonnages de la bibliothèque. En multipliant les deux, on obtient une bonne approximation de la quantité totale de livres… Les astronomes ont fait le même calcul avec les galaxies: la petite portion de ciel où ils en avaient dénombré 2 500 couvrait un peu moins d’un trente-millionnième de toute la voûte cléeste. En supposant que chaque autre portion de même taille, rassemblerait aussi 2 500 galaxies ( ce que confirment des observations menées en parallèles), ils ont multiplié ce chiffre par le nombre de portions nécessaires pour couvrir toute la voûte céleste, soit un peu plus de 30 millions. Et c’est ainsi qu’ils sont arrivés au chiffre de 100 milliards de galaxies. Galaxie: vaste rassemblement d’étoiles et de nuages de gaz et de poussières. Les étoiles ne sont jamais isolée dans le cosmos: elles appartiennent toutes à une galaxie. Quand à eu lieu le BIG BANG? Publié 21 mars 2007 dans L' Univers 11 Commentaires Il a eu lieu voilà environ quatorze milliards d’années soit près de trois fois l’âge de notre Système solair, et de la planète Terre en particulier. il y a un siècle encore, les astronomes pensaient que l’Univers était immuable et éternel, qu’il avait toujours existé. Aujourd’hui, la théorie selon laquelle il a eu un commencement -le « big bang »-et qu’il est en perpétuelle évolution est étayée par un faisceau d’observations. Il a fallu des sciècles aux astronomes pour accepter l’idée révolutionnaire que l’univers a pu avoir un commencement. Au début du XXè siècle, le grand Albert Einstein lui-même se refusait à admettre ce fait, qui semblait pourtant découler de ses équations. Il lui préférait l’idée d’un univers immuable et éternel. Mais le progrès était en marche: dans les années 1920-1930, en étudiant des galaxies très lointaines, les astronomes se rendirent compte que celle-ci s’éloignent les unes des aures- et donc qu’elle s’éloignent aussi de nous. ce mouvement de fuite généralisé a conforté l’idée que l’Univers est en expansion. L’Univers confiné dans une tête d’épingle: pour le comprendre, imaginons que l’Univers soit une sorte de pudding en train de cuir dans un four: on peut se représenter les galaxies comme les fruit secs répartis au hasard dans la pâte du pudding, qui représente l’espace intergalactique. L’orsque le pudding gonffle pendant la cuisson, chaque fruit sec voisins s’éloigner de lui, car le volume du gâteau croît… Or , si l’Univers est en expansion , il est aujourd’hui plus grand qu’il n’était hier, et il était hier plus grand qu’avant hier, etc. en remontant le temps, on bute alors sur un momant où son volume était très petit, voire ponctuel! A ce moment, tout ce que contenait l’Univers se trouvait concentré dans l’équivalent d’une petite tête d’épingle. Selon les lois de la physique, la température et la densité devaient alors être quasiment infinies! C’est ce moment particulier, celui de la naissance de l’Univers, qu’on appelle « big bang ». Tout l’art des chercheurs aujourd’hui consiste à évaluer au mieux, autreme